Les contributions

Contribution n°262 (Web)

Anonyme
Déposée le 21 octobre 2025 à 08h03
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction [...]
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).

Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4-Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi

Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.

Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.

Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée

Document joint


Contribution n°261 (Web)

Anonyme
Déposée le 21 octobre 2025 à 08h00
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction [...]
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).

Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4-Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi

Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.

Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.

Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée

Document joint


Contribution n°260 (Web)

Par BEATRICE
Déposée le 21 octobre 2025 à 07h53
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction [...]
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).

Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4-Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi

Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.

Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.

Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée

Contribution n°259 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 octobre 2025 à 23h44
Bonsoir,
Des terrains achetés, batis et classés comme tels actuellement avec maisons à granville, ont été transformés en terrains [...]
Bonsoir,
Des terrains achetés, batis et classés comme tels actuellement avec maisons à granville, ont été transformés en terrains agricoles pour pouvoir bâtir sur de nouveaux terrains agricoles vierges de maisons : quel scandale et quel procédé falacieux pour récupérer des terrains à batir ! Nous nous opposerons à cette transformation de qualification qui ne se justifie pas.

Contribution n°258 (Web)

Par Saint-Riquier david
Déposée le 20 octobre 2025 à 23h12
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

En introduction : il nous faut collectivement toujours préférer le vivant et le végétal [...]
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

En introduction : il nous faut collectivement toujours préférer le vivant et le végétal au béton et au bitume. C'est sans doute pour cela que la mairie de Granville a choisi en 2023 d'élaborer une charte de l'arbre et dont l'introduction précise : "la ville est un lieu artificiel où survivent quelques bribes de nature. Protégeons-les. Cultivons-les. Ces petites oasis sont, pour nous, une chance d'avoir demain des villes plus vivables."

Je souhaite par la présente faire part de mon opposition au projet de modification du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de Granville, visant à rendre constructible la parcelle cadastrée AB76, actuellement classée en Espace Boisé Classé (EBC), située rue du Rocher à Granville (50400).

1-Accès non conforme aux exigences de sécurité incendie :

La parcelle se situe au fond d’une impasse étroite, la rue du Rocher, dont la largeur moyenne est d’environ 3m et la largeur atteint par endroits 2.70 seulement.

Cette voie ne permet ni la circulation à double sens, ni le croisement de véhicules, ni la manœuvre de retournement d’un engin de secours.

Or, selon l’article R.111-5 du Code de l’urbanisme et les prescriptions du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) :

La voie d’accès doit avoir une largeur minimale de 3 mètres,
Une hauteur libre de 4 mètres,
Une aire de retournement en bout d’impasse,
Une résistance suffisante (13 tonnes) pour les véhicules d’intervention.
Ces conditions ne sont pas remplies pour la rue du Rocher, rendant tout accès pompier impossible ou dangereux.

Autoriser une constructibilité dans ces conditions irait à l’encontre des règles de sécurité publique et engagerait la responsabilité de la commune en cas d’incident.

2-Protection légale d’un Espace Boisé Classé

La parcelle AB76 bénéficie d’un classement en EBC, au titre des articles L.113-1 à L.113-3 du Code de l’urbanisme, interdisant tout défrichement ou construction.

Son déclassement ne peut être envisagé que pour un motif d’intérêt général supérieur, ce qui n’est manifestement pas le cas ici.

Le maintien de ce classement répond aux objectifs de :

Préservation des espaces naturels et paysagers,
Limitation de l’artificialisation des sols,
Respect des engagements de la loi Climat et Résilience (objectif Zéro Artificialisation Nette)
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).

Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4-Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi

Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.

Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.

Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée.

Document joint


Contribution n°257 (Web)

Par BAZIRE. Annick. & Richard
Déposée le 20 octobre 2025 à 21h08
Contribution PLUI GTM
OAP. SECTORIELLE N* 36
A l’attention de Monsieur Jean Philippe
ANCKAERT

Par la présente nous tenons [...]
Contribution PLUI GTM
OAP. SECTORIELLE N* 36
A l’attention de Monsieur Jean Philippe
ANCKAERT

Par la présente nous tenons à vous faire part de nos observations concernant l’opération en objet.

I) PREAMBULE :
Ce projet est motivé pour réaliser une « densification » sur une surface de 0,3 ha sur un terrain
appartenant à un propriétaire privé.
Pour être satisfaisant, il doit en plus, prendre en compte l’environnement existant déjà contraint et remédier aux problèmes rencontrés.
​Rappel des activités à proximité :
- Un site exceptionnel (Musée DIOR) et son parc très fréquenté (77 000 visites en 2024).
- Un complexe sportif (Tennis Club) qui accueille un public jeune et adulte
- Un centre de rééducation spécialisé dans plusieurs domaines d’une capacité de 200 lits
- D’un hôtel 4 étoiles d’une capacité de 66 chambres
- D’un établissement scolaire qui empreinte avec ses classes la rue Docteur Ollivier
Cet environnement n’est pas sans incidence sur :
- La circulation routière
- Le stationnement
- Les déplacements à pied pour les personnes valides et à mobilité réduite
-
II) QUESTIONS CONCERNANT LES CONSTRUCTIONS ENVISAGEES
Pour mieux apprécier les contraintes de ce projet il est important que des réponses soient apportées aux questions ci-dessous pour évaluer l’impact sur l’environnement au sens large du terme.

​2-1​- une étude de sol a-t-elle été réalisée pour confirmer la faisabilité ?
​2-2)​- les constructions avec sous-sol enterré ou semi-enterré seront-elles autorisées ?
​2-3)​- quelle hauteur maximum du sol naturel existant au faitage ?
​2-4)​- quel coefficient d’emprise au sol ?
​2-5)​- s’agit-il d’une construction d’un seul logement par parcelles viabilisées ?
​2-6)​- s’agit-il d’une construction d’un ou plusieurs petits immeubles ?
​2-7)​un projet qui intègre la possibilité de détruire une habitation existante
​​​Difficile de comprendre que l’on puisse détruire cette habitation venant de faire l’objet d’une élévation accordée…

​2-8)​prévision d’un accès piéton ou cyclable (liaison douce)
​​​Difficilement réalisable compte tenu du dénivelé de 3 mètres environ entre le terrain en question et le chemin du Noroit
​​​Ce chemin n’est pas utile et il provoquera des nuisances (absence d’accessibilité PMR, gros problème d’écoulement des eaux pluviales en plus il risque de desservir le musée DIOR qui permet une accessibilité actuellement au plat gousset.

​2-9)​création d’une desserte pour ce terrain à partir de la rue Docteur Ollivier

​​L’accès par la rue Docteur Ollivier va densifier encore plus la circulation et cette création supprimera au moins 4 places de stationnement sur cette rue.
Question : Comment seront compensées à proximité cette perte de places de stationnement ?

​2-10)​une densification trop importante entre 5 et 8 logements
​​TROP importante compte tenu de la surface de terrain disponible.
​​Privilégier les espaces verts et le stationnement afin de contribuer au meilleur accueil des touristes de notre cité.


III) Difficultés rencontrées actuellement

Le stationnement
- Déjà saturé (jours ouvrés hors saison et tous les jours en saison)
- Mal défini, une matérialisation serait la bienvenue pour éviter de perdre des places de
stationnement.

La circulation dense et mal établie
- particulièrement en saison et augmentée du fait que les conducteurs, pour trouver une place de stationnement, effectuent plusieurs rotations pour trouver une place.
- Trop de sens interdit donnant peu de possibilité aux automobilistes les contraignant à reculer ou faire demi-tour dans le carrefour du chemin du NOROIT.
- Déplacement très difficile voire impossible sur les trottoirs pour les Personnes à Mobilité Réduite qui utilisent la rue Docteur Ollivier permettant d’accéder au musée DIOR.


L’état préoccupant de la falaise.

​L’opération envisagée se situe très près de la falaise qui est déjà exposée aux phénomènes d’érosion et sa vulnérabilité est avérée dans la mesure où :
- Elle a déjà été renforcée par la pose de filets sur GRANVILLE et DONVILE actuellement ce qui confirme sa fragilité.
- Le chemin dans le prolongement du jardin DIOR est fermé depuis au moins 10 ans.
- Le sentier des mainquiers est fermé cet été pour des raisons de sécurité

- Et : on envisage de construire au milieu de ces points de fragilité ?????.

- Ces points, évoqués ci-dessus, devraient attirer l’attention des élus pour revoir ce projet et évaluer l’impact causé par ces constructions sur la falaise et ainsi réduire le nombre de logements.

IV) NOS ATTENTES

​Nous demandons que tout soit mis en œuvre pour :

- Protéger cet environnement en préservant des espaces verts.
- Ne pas fragiliser encore plus la falaise
- Maintenir cette vue notamment pour les touristes
- Limiter au maximum les constructions à cet endroit déjà très fréquentés
- Maintenir impérativement la capacité de stationnement actuel
- De bien prendre en compte l’environnement actuel exposé en préambule qui doit être préservé et maintenu.

EN CONCLUSION.
​Ce projet doit être encore plus explicité pour mieux comprendre le projet global.
​Des évolutions sont nécessaires pour limiter les impacts négatifs qui auront une incidence forte sur le voisinage et la qualité de l’accueil des touristes
​Nous ne sommes pas favorables à sa mise en œuvre dans l’état actuel
​Nous restons à votre disposition pour en parler de façon constructive.

Contribution n°256 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 octobre 2025 à 19h52
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Je souhaite par la présente faire part de mon opposition au projet de modification du [...]
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Je souhaite par la présente faire part de mon opposition au projet de modification du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de Granville, visant à rendre constructible la parcelle cadastrée AB76, actuellement classée en Espace Boisé Classé (EBC), située rue du Rocher à Granville (50400).
Vous trouverez ci-après les différents points expliquant mon opposition à ce projet :

1 - Accès non conforme aux exigences de sécurité incendie :
La parcelle se situe au fond d’une impasse étroite, la rue du Rocher, dont la largeur moyenne est d’environ 3m et la largeur atteint par endroits 2.70 seulement .
Cette voie ne permet ni la circulation à double sens, ni le croisement de véhicules, ni la manœuvre de retournement d’un engin de secours.
Or, selon l’article R.111-5 du Code de l’urbanisme et les prescriptions du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) :
• la voie d’accès doit avoir une largeur minimale de 3 mètres,
• une hauteur libre de 4 mètres,
• une aire de retournement en bout d’impasse,
• et une résistance suffisante (13 tonnes) pour les véhicules d’intervention.
Ces conditions ne sont pas remplies au niveau de la rue du Rocher, rendant tout accès pompier impossible ou dangereux.
Autoriser une constructibilité dans ces conditions irait à l’encontre des règles de sécurité publique et engagerait la responsabilité de la commune en cas d’incident ou d'accès impossible des secours.

2 - Protection légale d’un Espace Boisé Classé :
La parcelle AB76 bénéficie d’un classement en EBC, au titre des articles L.113-1 à L.113-3 du Code de l’urbanisme, interdisant tout défrichement ou construction.
Son déclassement ne peut être envisagé que pour un motif d’intérêt général supérieur, ce qui n’est manifestement pas le cas ici.
Le maintien de ce classement répond aux objectifs de :
• préservation des espaces naturels et paysagers,
• limitation de l’artificialisation des sols,
• et respect des engagements de la loi Climat et Résilience (objectif Zéro Artificialisation Nette)

3 - Sécurité et nuisances locales :
La rue du Rocher étant étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement, toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des enfants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).
Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4 - Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi :
Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.
Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.
Au vu de la topographie des terrains au niveau de la parcelle AB76, une autorisation de construction de cette parcelle engendrerai un fort risque notamment d'inondation pour les constructions et parcelles situées en contrebas de cette dernière. Une nouvelle fois, la responsabilité de la commune serait engagée en cas de sinistre lors de fortes pluies ou gros orages.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.
Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée.

BOUREL Stéphanie
La Violette 35420 POILLEY
0676812602

Contribution n°255 (Web)

Par BOUREL Yoann
Déposée le 20 octobre 2025 à 19h49
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Je souhaite par la présente faire part de mon opposition au projet de modification du [...]
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Je souhaite par la présente faire part de mon opposition au projet de modification du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de Granville, visant à rendre constructible la parcelle cadastrée AB76, actuellement classée en Espace Boisé Classé (EBC), située rue du Rocher à Granville (50400).
Vous trouverez ci-après les différents points expliquant mon opposition à ce projet :

1 - Accès non conforme aux exigences de sécurité incendie :
La parcelle se situe au fond d’une impasse étroite, la rue du Rocher, dont la largeur moyenne est d’environ 3m et la largeur atteint par endroits 2.70 seulement .
Cette voie ne permet ni la circulation à double sens, ni le croisement de véhicules, ni la manœuvre de retournement d’un engin de secours.
Or, selon l’article R.111-5 du Code de l’urbanisme et les prescriptions du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) :
• la voie d’accès doit avoir une largeur minimale de 3 mètres,
• une hauteur libre de 4 mètres,
• une aire de retournement en bout d’impasse,
• et une résistance suffisante (13 tonnes) pour les véhicules d’intervention.
Ces conditions ne sont pas remplies au niveau de la rue du Rocher, rendant tout accès pompier impossible ou dangereux.
Autoriser une constructibilité dans ces conditions irait à l’encontre des règles de sécurité publique et engagerait la responsabilité de la commune en cas d’incident ou d'accès impossible des secours.

2 - Protection légale d’un Espace Boisé Classé :
La parcelle AB76 bénéficie d’un classement en EBC, au titre des articles L.113-1 à L.113-3 du Code de l’urbanisme, interdisant tout défrichement ou construction.
Son déclassement ne peut être envisagé que pour un motif d’intérêt général supérieur, ce qui n’est manifestement pas le cas ici.
Le maintien de ce classement répond aux objectifs de :
• préservation des espaces naturels et paysagers,
• limitation de l’artificialisation des sols,
• et respect des engagements de la loi Climat et Résilience (objectif Zéro Artificialisation Nette)

3 - Sécurité et nuisances locales :
La rue du Rocher étant étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement, toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des enfants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).
Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4 - Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi :
Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.
Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.
Au vu de la topographie des terrains au niveau de la parcelle AB76, une autorisation de construction de cette parcelle engendrerai un fort risque notamment d'inondation pour les constructions et parcelles situées en contrebas de cette dernière. Une nouvelle fois, la responsabilité de la commune serait engagée en cas de sinistre lors de fortes pluies ou gros orages.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.
Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée.

BOUREL Yoann
685 rue du rocher 50400 GRANVILLE
0616741096

Contribution n°254 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 octobre 2025 à 18h45
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

En introduction : il nous faut collectivement toujours préférer le vivant et le végétal [...]
Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

En introduction : il nous faut collectivement toujours préférer le vivant et le végétal au béton et au bitume. C'est sans doute pour cela que la mairie de Granville a choisi en 2023 d'élaborer une charte de l'arbre et dont l'introduction précise : "la ville est un lieu artificiel où survivent quelques bribes de nature. Protégeons-les. Cultivons-les. Ces petites oasis sont, pour nous, une chance d'avoir demain des villes plus vivables."

Je souhaite par la présente faire part de mon opposition au projet de modification du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de Granville, visant à rendre constructible la parcelle cadastrée AB76, actuellement classée en Espace Boisé Classé (EBC), située rue du Rocher à Granville (50400).

1-Accès non conforme aux exigences de sécurité incendie :

La parcelle se situe au fond d’une impasse étroite, la rue du Rocher, dont la largeur moyenne est d’environ 3m et la largeur atteint par endroits 2.70 seulement.

Cette voie ne permet ni la circulation à double sens, ni le croisement de véhicules, ni la manœuvre de retournement d’un engin de secours.

Or, selon l’article R.111-5 du Code de l’urbanisme et les prescriptions du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) :

La voie d’accès doit avoir une largeur minimale de 3 mètres,
Une hauteur libre de 4 mètres,
Une aire de retournement en bout d’impasse,
Une résistance suffisante (13 tonnes) pour les véhicules d’intervention.
Ces conditions ne sont pas remplies pour la rue du Rocher, rendant tout accès pompier impossible ou dangereux.

Autoriser une constructibilité dans ces conditions irait à l’encontre des règles de sécurité publique et engagerait la responsabilité de la commune en cas d’incident.

2-Protection légale d’un Espace Boisé Classé

La parcelle AB76 bénéficie d’un classement en EBC, au titre des articles L.113-1 à L.113-3 du Code de l’urbanisme, interdisant tout défrichement ou construction.

Son déclassement ne peut être envisagé que pour un motif d’intérêt général supérieur, ce qui n’est manifestement pas le cas ici.

Le maintien de ce classement répond aux objectifs de :

Préservation des espaces naturels et paysagers,
Limitation de l’artificialisation des sols,
Respect des engagements de la loi Climat et Résilience (objectif Zéro Artificialisation Nette)
3-Sécurité et nuisances locales

La rue du Rocher est étroite, en impasse, et dépourvue de zone de retournement.

Toute nouvelle construction impliquerait une augmentation du trafic dans une voie déjà contrainte, au détriment de la sécurité des habitants, des piétons et des véhicules de service (éboueurs, secours, livraisons).

Cette situation est incompatible avec une urbanisation nouvelle, tant pour des raisons pratiques que réglementaires.

4-Préservation du cadre de vie et cohérence du PLUi

Le bois de la parcelle AB76 contribue à la biodiversité locale, à la stabilité des sols, à la limitation du ruissellement et à la qualité paysagère du quartier.

Son déclassement créerait une rupture d’équilibre dans le tissu urbain et un précédent dangereux pour d’autres espaces naturels protégés.

En conclusion et au regard de ces éléments, je demande le maintien du classement en Espace Boisé Classé (EBC) de la parcelle AB76 et l’abandon du projet de modification du PLUi visant à la rendre constructible.

Cette position repose sur des considérations de sécurité publique, de conformité réglementaire et de cohérence environnementale.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de ma considération distinguée.

Document joint


Contribution n°253 (Web)

Par Laurent Petitgas
Déposée le 20 octobre 2025 à 18h38
Bonjour,
J'ai consulté le règlement écrit de la zone Uhl, dans laquelle se trouve les Merais. J'ai constaté que ce règlement limitait [...]
Bonjour,
J'ai consulté le règlement écrit de la zone Uhl, dans laquelle se trouve les Merais. J'ai constaté que ce règlement limitait à 8m au faîtage les hauteurs des constructions, pour le bâtiment principal.

Je trouve que c'est très restrictif, car adapté à la plupart des maisons en R+combles, mais certaines qui peuvent avoir des dératellements importants, des toitures imposantes, ou un niveau droit en étage, ne respecteront pas cette règle maximum.
Il me paraitrait prudent de prévoir une hauteur supérieure, soit de deux mètres si vous voulez autoriser deux niveaux droits plus combles, ou simplement un mètre pour disposer d'une marge de sécurité pour une maison en R+combles qui serait plus haute pour les raisons que j'ai données précédemment.

Je trouve en revanche que le règlement n'est pas assez exigeant sur les matériaux et le type de constructions qui peuvent se faire dans ces hameaux. Ces hameaux sont anciens, et toute construction trop contemporaine serait choquante. La démarche d'AVAP devrait amener à avoir plus d'exigences sur l'aspect des constructions (teinte neutre et soutenue, matériaux traditionnels voire ardoise ...)

Merci.

Laurent Petitgas

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