Contribution n°337 (Web)
Anonyme
Déposée le 9 juillet 2025 à 21h36
Déposée le 9 juillet 2025 à 21h36
Il faut arrêter de tergiverser. Cette 4 voie est indispensable tout comme un Tgv. La plupart des médecins se trouvent à Rennes ainsi que les hôpitaux et d autres opportunités de jobs sans oublier les écoles. Et laissons les villages qui se trouvent en bord de route tranquilles.
Je fais très attention à la planète mais à un moment donné il faut se poser les bonnes questions et faire preuve de bons sens et il faut faire ke maximum pour garder nos jeunes, attirer des médecins
Je fais très attention à la planète mais à un moment donné il faut se poser les bonnes questions et faire preuve de bons sens et il faut faire ke maximum pour garder nos jeunes, attirer des médecins
Contribution n°336 (Web)
Anonyme
Déposée le 9 juillet 2025 à 21h07
Déposée le 9 juillet 2025 à 21h07
Il s agit d'une route de plus en plus encombrée qui doit absolument faire l'objet
d'un aménagement afin de la désengorger et faciliter l'accès à Granville, notamment pour
l'implantation d'entreprises qui pourront valoriser Granville et sa région, notamment pour
favoriser le tourisme, notamment pour épargner les riverains des nuisances importantes
de cette circulation ; l A84 passe bien trop loin de granville !!!
ce projet n'a que trop tardé, les normands doivent s'inspirer des bretons qui ont réussi le désenclavement de leur région !!!
d'un aménagement afin de la désengorger et faciliter l'accès à Granville, notamment pour
l'implantation d'entreprises qui pourront valoriser Granville et sa région, notamment pour
favoriser le tourisme, notamment pour épargner les riverains des nuisances importantes
de cette circulation ; l A84 passe bien trop loin de granville !!!
ce projet n'a que trop tardé, les normands doivent s'inspirer des bretons qui ont réussi le désenclavement de leur région !!!
Contribution n°335 (Web)
Par Leloup Maxime
Déposée le 9 juillet 2025 à 18h30
Déposée le 9 juillet 2025 à 18h30
Oui nous avons besoin de cet axe pour améliorer ka circulation dans le sud Manche
Contribution n°334 (Web)
Par Thieurmel Evelyne
Déposée le 9 juillet 2025 à 17h25
Déposée le 9 juillet 2025 à 17h25
cet amenagement routier est absolument indispensable , celà semble évident
Contribution n°333 (Web)
Par Sarah
Déposée le 9 juillet 2025 à 16h30
Déposée le 9 juillet 2025 à 16h30
Je fais la route tous les jours depuis Sartilly pour aller bosser à Granville, et honnêtement, c’est pas une route agréable. C’est chargé, souvent lent, et on se sent pas en sécurité. Entre les dépassements dangereux, les tracteurs, les bouchons… c’est fatiguant à force. Et c’est pas qu’aux heures de pointe, c’est devenu comme ça tout le temps. Certains parlent du train, mais faut être réaliste : y’a pas de gare à chaque village, on va pas poser des rails au pied de toutes les maisons et des écoles. Moi j’ai besoin de ma voiture, comme plein de gens ici. Faire des petits bouts de route par-ci par-là, c’est reculer pour mieux sauter. Si on ne fait rien de sérieux maintenant, ce sera encore pire plus tard. Une vraie 2x2 voies bien pensée, c’est ce qu’il faut. Pas juste pour aujourd’hui, mais pour les années à venir.
Contribution n°332 (Web)
Anonyme
Déposée le 9 juillet 2025 à 16h02
Déposée le 9 juillet 2025 à 16h02
Vous affirmez qu’une ligne de tram-train entre Granville et Avranches permettrait de régler la question du trafic. Mais il faut rester sérieux et ancré dans la réalité du territoire.
Vous parlez d’une ligne ferroviaire directe entre Granville et Avranches… mais elle n’existe pas. Aujourd’hui, il faut plus d’une heure en train pour relier ces deux villes distantes d’à peine 20-25 km. Aucune liaison directe n’est en place, et le système actuel n’est ni rapide, ni fiable, ni adapté aux besoins du quotidien. Le sujet aujourd’hui, ce n’est pas d’imaginer des alternatives hypothétiques, c’est de réduire la saturation et d’assurer la sécurité sur un axe déjà surchargé.
Proposer des alternatives, oui. Mais encore faut-il que ce soit réaliste. Demander aux gens de se lever 2 heures plus tôt pour aller travailler, et de rentrer 2 heures plus tard pour attendre une correspondance, ce n’est pas une solution. Penser à vos enfants qui devraient se lever à 5h du matin pour attraper un train au lieu de partir à 7h, ce n’est pas viable. Les artisans, les aides à domicile, les soignants, les ouvriers… ont besoin de flexibilité et de fiabilité, pas d’un système rigide, lent, et déconnecté de la réalité.
Côté circulation, les chiffres sont clairs : l’étude bruit de la DREAL montre 16 044 véhicules par jour en moyenne annuelle, dont 874 poids lourds. Et ce chiffre grimpe donc à plus de 20 000 en période estivale, et ce n'est que le début. Avec les projets de la région Granvillaise en cours, cette pression ne fera qu’augmenter.
Enfin, comparer Granville-Avranches à la ligne Cherbourg-Bayonne, c’est tout simplement hors-sujet. Cette dernière est un axe national majeur, avec du matériel lourd, des hubs logistiques, des gares de fret. Imaginer cela ici pour 20-25 km et quelques camions serait un non-sens logistique et économique.
La vérité, c’est qu’il nous faut une solution concrète, déjà prête, et adaptée à notre territoire : la 2x2 voies, conçue depuis 2006, avec ses études, ses mesures de compensation environnementale et le soutien de ceux qui la vivent tous les jours.
Pas d’utopies ferroviaires. Pas de promesses hors-sol. Juste une route utile, fonctionnelle, et urgente.
Vous parlez d’une ligne ferroviaire directe entre Granville et Avranches… mais elle n’existe pas. Aujourd’hui, il faut plus d’une heure en train pour relier ces deux villes distantes d’à peine 20-25 km. Aucune liaison directe n’est en place, et le système actuel n’est ni rapide, ni fiable, ni adapté aux besoins du quotidien. Le sujet aujourd’hui, ce n’est pas d’imaginer des alternatives hypothétiques, c’est de réduire la saturation et d’assurer la sécurité sur un axe déjà surchargé.
Proposer des alternatives, oui. Mais encore faut-il que ce soit réaliste. Demander aux gens de se lever 2 heures plus tôt pour aller travailler, et de rentrer 2 heures plus tard pour attendre une correspondance, ce n’est pas une solution. Penser à vos enfants qui devraient se lever à 5h du matin pour attraper un train au lieu de partir à 7h, ce n’est pas viable. Les artisans, les aides à domicile, les soignants, les ouvriers… ont besoin de flexibilité et de fiabilité, pas d’un système rigide, lent, et déconnecté de la réalité.
Côté circulation, les chiffres sont clairs : l’étude bruit de la DREAL montre 16 044 véhicules par jour en moyenne annuelle, dont 874 poids lourds. Et ce chiffre grimpe donc à plus de 20 000 en période estivale, et ce n'est que le début. Avec les projets de la région Granvillaise en cours, cette pression ne fera qu’augmenter.
Enfin, comparer Granville-Avranches à la ligne Cherbourg-Bayonne, c’est tout simplement hors-sujet. Cette dernière est un axe national majeur, avec du matériel lourd, des hubs logistiques, des gares de fret. Imaginer cela ici pour 20-25 km et quelques camions serait un non-sens logistique et économique.
La vérité, c’est qu’il nous faut une solution concrète, déjà prête, et adaptée à notre territoire : la 2x2 voies, conçue depuis 2006, avec ses études, ses mesures de compensation environnementale et le soutien de ceux qui la vivent tous les jours.
Pas d’utopies ferroviaires. Pas de promesses hors-sol. Juste une route utile, fonctionnelle, et urgente.
Contribution n°331 (Web)
Par agirclimat
Déposée le 9 juillet 2025 à 14h55
Déposée le 9 juillet 2025 à 14h55
La personne anonyme qui répond au développement du train qui est national ne connais pas du tout le territoire. il y a bien une ligne de chemin de fer entre Granville Avranches Mont saint Michel et au delà comme vers coutances saint lo et Caen ..les études annonce que pour Granville et AVRANCHE le TRAM TRAIN mettra 25 minutes avec des arrêts il peut transporter 120 passager donc 120 voiture en mois toutes les heures (pour votre infos la fréquentation n'est de 20000 par jour mais de 12000 cela fait un grande différences. le le train Cherbourg Bayonne transporte tous les jours 360 camions (aller retour. cherche les différences .
Contribution n°330 (Web)
Anonyme
Déposée le 9 juillet 2025 à 14h30
Déposée le 9 juillet 2025 à 14h30
Je comprends les grandes intentions des collectifs nationaux comme « La Déroute des Routes ». Oui, sur le papier, “moins de routes, plus de trains”, ça sonne bien. Mais on ne peut pas appliquer les mêmes recettes partout, surtout pas dans un territoire comme le nôtre.
Entre Avranches et Granville, il n’existe aucune ligne ferroviaire. Elle a été supprimée il y a des décennies, car elle n’était plus utilisée. Aujourd’hui, on parle de plus de 20 000 véhicules par jour sur cette route, avec un nombre important de camions, de professionnels, d’ouvriers, d’aides à domicile, d’artisans, etc.
Il est totalement irréaliste de penser que ce flux quotidien pourrait être absorbé par un hypothétique train… qui n’existe pas, ne passera pas dans les bourgs desservis par la route actuelle, et dont la reconstruction coûterait bien plus cher qu’une 2x2 voies.
Le projet de voie express n’est pas une lubie. Il est déjà étudié, engagé, compensé écologiquement, et soutenu par la majorité des habitants et usagers. Il ne s’agit pas d’opposer le train et la route, mais de répondre à un besoin concret, local, immédiat.
Les grandes déclarations nationales sont intéressantes pour les métropoles ou les axes ferroviaires déjà existants. Mais ici, nous avons besoin de sécurité, de fiabilité et de continuité. Et cela passe, dans notre territoire, par une vraie 2x2 voies.
Entre Avranches et Granville, il n’existe aucune ligne ferroviaire. Elle a été supprimée il y a des décennies, car elle n’était plus utilisée. Aujourd’hui, on parle de plus de 20 000 véhicules par jour sur cette route, avec un nombre important de camions, de professionnels, d’ouvriers, d’aides à domicile, d’artisans, etc.
Il est totalement irréaliste de penser que ce flux quotidien pourrait être absorbé par un hypothétique train… qui n’existe pas, ne passera pas dans les bourgs desservis par la route actuelle, et dont la reconstruction coûterait bien plus cher qu’une 2x2 voies.
Le projet de voie express n’est pas une lubie. Il est déjà étudié, engagé, compensé écologiquement, et soutenu par la majorité des habitants et usagers. Il ne s’agit pas d’opposer le train et la route, mais de répondre à un besoin concret, local, immédiat.
Les grandes déclarations nationales sont intéressantes pour les métropoles ou les axes ferroviaires déjà existants. Mais ici, nous avons besoin de sécurité, de fiabilité et de continuité. Et cela passe, dans notre territoire, par une vraie 2x2 voies.
Contribution n°329 (Web)
Par la déroutente inter lutte
Déposée le 9 juillet 2025 à 14h04
Déposée le 9 juillet 2025 à 14h04
Moins de routes, plus de trains : pour un autre financement des transports
4 juin 2025
Le 5 mai 2025, le gouvernement a lancé une conférence sur le financement des transports : Ambition France Transports. L’occasion est idéale pour initier un plan ambitieux qui permette la réduction de nos émissions de gaz à effet de serre, qui viennent pour un tiers de ce secteur.
L’Alliance écologique et sociale, la Déroute des routes et SUD Rail publient une note : “Moins de routes, plus de trains. Pour un autre financement des transports”. Nous y développons nos propositions pour des transports plus justes, plus sûrs et plus respectueux de l’environnement.
Notre note
Nos propositions :
Un moratoire sur les projets routiers et sur les contrats de concessions autoroutières.
Le report des investissements publics consacrés à des projets routiers vers le système ferroviaire (voyageurs/marchandises) et les transports en commun.
Un plan national ambitieux de sauvegarde et de développement du réseau ferroviaire de proximité.
La nationalisation des profits des autoroutes pour investir dans les alternatives de transport.
Un système ferroviaire unifié dans une grande entreprise publique.
Un nouveau statut du salarié pour les travailleurs et travailleuses des entreprises de la route appelé·es à se reconvertir : droits à la formation, continuité du salaire et maintien des droits entre deux emplois et d’un emploi à l’autre.
4 juin 2025
Le 5 mai 2025, le gouvernement a lancé une conférence sur le financement des transports : Ambition France Transports. L’occasion est idéale pour initier un plan ambitieux qui permette la réduction de nos émissions de gaz à effet de serre, qui viennent pour un tiers de ce secteur.
L’Alliance écologique et sociale, la Déroute des routes et SUD Rail publient une note : “Moins de routes, plus de trains. Pour un autre financement des transports”. Nous y développons nos propositions pour des transports plus justes, plus sûrs et plus respectueux de l’environnement.
Notre note
Nos propositions :
Un moratoire sur les projets routiers et sur les contrats de concessions autoroutières.
Le report des investissements publics consacrés à des projets routiers vers le système ferroviaire (voyageurs/marchandises) et les transports en commun.
Un plan national ambitieux de sauvegarde et de développement du réseau ferroviaire de proximité.
La nationalisation des profits des autoroutes pour investir dans les alternatives de transport.
Un système ferroviaire unifié dans une grande entreprise publique.
Un nouveau statut du salarié pour les travailleurs et travailleuses des entreprises de la route appelé·es à se reconvertir : droits à la formation, continuité du salaire et maintien des droits entre deux emplois et d’un emploi à l’autre.
Contribution n°328 (Web)
Par Lepaumier Hélène
Déposée le 9 juillet 2025 à 12h54
Déposée le 9 juillet 2025 à 12h54
pour l’atelier de travail – Zone du Croissant, Saint-Pair-sur-Mer
Mardi 8 juillet 2025
Je vis depuis 25 ans dans une maison qui a 200 ans. Elle appartenait à mes beaux-parents, et aujourd’hui, mes enfants représentent la 7e génération à vivre ici.
La route qui passe devant chez nous n’a pas toujours été celle qu’elle est aujourd’hui.
Autrefois, mes beaux-parents faisaient traverser leurs vaches pour les amener dans les prés d’en face. C’était une route avec peu de circulation.
Aujourd’hui, elle est devenue un axe saturé, bruyant, pollué et dangereux.
Le bruit constant, la pollution, et le stress permanent dégradent notre santé, notre environnement et notre qualité de vie.
Même des professionnels se plaignent : des patrons et des salariés évoquent les retards de livraisons et les trajets compliqués à cause de cette route.
Certains nous répondent que la solution, ce sont les trains, les bus ou le covoiturage.
Mais la réalité, c’est que :
Les trains sont souvent en retard, supprimés ou bloqués par une grève ou des feuilles sur les rails ;
Les bus rencontrent les mêmes problèmes : retards, suppressions, horaires peu adaptés ;
Et les artisans et les entreprises, eux, ont besoin de camions pour être livrés.
Quant à nous, les riverains, nous resterons au bord de cette route surchargée, peu importe les discours sur la mobilité douce.
Rien ne changera pour nous, tant qu’on ne traite pas le fond du problème : la surcharge de circulation.
Lors de l’atelier, nous avons été emmenés en bus sur le terrain. Nous avons pu nous exprimer, et nous le reconnaissons.
Mais cette visite a surtout ressemblé à une présentation orientée :
Un scénario nous a été montré,
Le tracé de 2006 est évité, alors qu’il répondait mieux aux besoins de désengorgement,
Et certains refusent qu’on en parle, car il passerait près de chez eux… alors même qu’ils ont acheté en sachant qu’il existait.
Nous, nous n’avons pas eu ce choix.
On nous impose cette route, et elle détruit petit à petit notre santé, notre cadre de vie, et notre tranquillité.
Nous demandons que notre parole soit vraiment entendue.
Et surtout, que des décisions équitables soient prises, en tenant compte de ceux qui subissent cette route chaque jour, et pas seulement de ceux qui en parlent de loin.
Mardi 8 juillet 2025
Je vis depuis 25 ans dans une maison qui a 200 ans. Elle appartenait à mes beaux-parents, et aujourd’hui, mes enfants représentent la 7e génération à vivre ici.
La route qui passe devant chez nous n’a pas toujours été celle qu’elle est aujourd’hui.
Autrefois, mes beaux-parents faisaient traverser leurs vaches pour les amener dans les prés d’en face. C’était une route avec peu de circulation.
Aujourd’hui, elle est devenue un axe saturé, bruyant, pollué et dangereux.
Le bruit constant, la pollution, et le stress permanent dégradent notre santé, notre environnement et notre qualité de vie.
Même des professionnels se plaignent : des patrons et des salariés évoquent les retards de livraisons et les trajets compliqués à cause de cette route.
Certains nous répondent que la solution, ce sont les trains, les bus ou le covoiturage.
Mais la réalité, c’est que :
Les trains sont souvent en retard, supprimés ou bloqués par une grève ou des feuilles sur les rails ;
Les bus rencontrent les mêmes problèmes : retards, suppressions, horaires peu adaptés ;
Et les artisans et les entreprises, eux, ont besoin de camions pour être livrés.
Quant à nous, les riverains, nous resterons au bord de cette route surchargée, peu importe les discours sur la mobilité douce.
Rien ne changera pour nous, tant qu’on ne traite pas le fond du problème : la surcharge de circulation.
Lors de l’atelier, nous avons été emmenés en bus sur le terrain. Nous avons pu nous exprimer, et nous le reconnaissons.
Mais cette visite a surtout ressemblé à une présentation orientée :
Un scénario nous a été montré,
Le tracé de 2006 est évité, alors qu’il répondait mieux aux besoins de désengorgement,
Et certains refusent qu’on en parle, car il passerait près de chez eux… alors même qu’ils ont acheté en sachant qu’il existait.
Nous, nous n’avons pas eu ce choix.
On nous impose cette route, et elle détruit petit à petit notre santé, notre cadre de vie, et notre tranquillité.
Nous demandons que notre parole soit vraiment entendue.
Et surtout, que des décisions équitables soient prises, en tenant compte de ceux qui subissent cette route chaque jour, et pas seulement de ceux qui en parlent de loin.
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