Contribution n°90 (Web)
Déposée le 15 mai 2025 à 14h48
Contribution n°89 (Web)
Déposée le 15 mai 2025 à 14h39
Contribution n°88 (Web)
Déposée le 15 mai 2025 à 14h38
Contribution n°87 (Web)
Déposée le 15 mai 2025 à 12h36
Contribution n°86 (Web)
Déposée le 15 mai 2025 à 11h30
Pour garantir une production électrique faiblement carbonée [2], peu chère et pilotable [3], il est primordial, entre autres, de poursuivre l’exploitation du parc nucléaire existant le plus longtemps possible et ce, tant que les critères de sûreté sont respectés.
Cette démarche pragmatique est appliquée aux Etats-Unis, où 90% des réacteurs [4] ont déjà été autorisés à fonctionner jusqu’à 60 ans, et 9/94 jusqu’à 80 ans.
[1] En Suisse, Axpo exploite actuellement et jusqu’en 2030 les tranches I et II de Beznau (365 MWe chacune) mis en service respectivement en 1969 et 1971. La tranche de Beznau 1 est donc la plus ancienne tranche nucléaire en service dans le monde (56 ans). L’arrêt prématuré de tranche (ex Fessenheim - 43 ans), imposé à EDF, n’est pas à reproduire.
[2] Produire 900 MWe avec du combustible fossile entraîne une consommation horaire de l’ordre de : 180 tonnes de fioul ou 230 tonnes de charbon ou 600 tonnes de lignite ou 3600 MWh de Gaz. Rejets de CO2 associés, selon le combustible choisi, de 460 à 900 t/h.
[3] Bien que les causes sur l’origine du black-out du 28 avril 2025 sur la péninsule ibérique soient encore en cours d’investigation, on peut noter qu’il y avait un taux de PV et d’éolien de 70% lors de l’incident. Ces 2 modes de production ne sont ni pilotables, ni participent à la stabilité du système . La production électrique doit donc être en majeure partie pilotable et réalisée par des machines tournantes (contribue à la stabilité du système électrique).
[4] Certaines des lignes de défense supplémentaire mise en œuvre à Blayais (par ex renforcement du radier) ne l’ont pas été aux EU, car elles n’auraient pas résisté au ‘’tamis’’ « coût-efficacité ». En sachant que la technologie REP est à sa conception robuste (sans compter les améliorations déjà apportées) pour limiter les conséquences en cas d’accident grave. Ce que confirme le seul accident survenu sur ce type de réacteur (Three Mile Island en 1979) où malgré la fusion partielle du cœur du réacteur et l'important relâchement de radioactivité dans l'enceinte de confinement, les conséquences radiologiques immédiates dans l'environnement ont été minimes. De plus, il est à noter qu’aucun autre accident grave n’est survenu depuis sur des REP qui pourtant constituent plus des 2/3 des réacteurs nucléaires dans le monde.
Contribution n°85 (Web)
Déposée le 14 mai 2025 à 21h15
Contribution n°84 (Web)
Déposée le 14 mai 2025 à 16h20
Contribution n°83 (Web)
Déposée le 14 mai 2025 à 16h05
Avis favorable.
Les travaux engagés par EDF pendant la dernière visite décennale donne satisfaction et assurance pour l'exploitation du réacteur.
Contribution n°82 (Web)
Déposée le 14 mai 2025 à 15h56
Contribution n°81 (Web)
Déposée le 14 mai 2025 à 15h54