Contribution n°18 (Web)
Déposée le 13 février 2025 à 20h39
Le projet est illégal si il : « Ne permet pas à la production agricole d'être l'activité principale de la parcelle agricole « . C’est le texte officiel !
Il est évident que dans ce projet le revenu agricole sera ridicule face aux revenus des ventes d’électricité.
Avec cette condition le législateur a voulu préserver la production agricole et l’indépendance alimentaire de l’Europe .
De plus l’électricité photovoltaïque est chère pour le consommateur et la production est décalée face aux besoins.
Des ventes à prix négatifs seront sûrement appliquées maintenant que nous avons trop d’électricité ,le jour en été ( 80% de la production).
Nous avons des besoins électriques le soir et en hiver
Ce projet n’a aucun sens sans parler des dégâts environnementaux.
Je salue ici les petits génies qui ont pondu ce projet !
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 13 février 2025 à 19h01
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 13 février 2025 à 09h36
Pas assez d'ensoleillement pour que le projet soit cohérent dans notre région.
Ne serait-il pas plus judicieux d'augmenter le solaire sur les toitures, les terres en friches, les hangars agricoles, les parking des supermarché??????
Ma crainte, ce n'est que le début de nombreux projets comme celui-ci, aucun impact positif pour la communauté, projet individuel à des fins individuelles!!!!!!
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 13 février 2025 à 08h27
Vous trouverez ci-joint notre contribution à l'Enquête d'Utilité Publique.
Cordialement
APACHE
Document joint
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 13 février 2025 à 01h11
Je suis contre ce projet dévastateur pour nos terres agricoles. L'artificialisation des sols est une hérésie à une époque où il est impératif de penser à notre autonomie alimentaire future. Toutes les études montrent que ces installations à faible production ne nous sont d'aucun bénéfice, elles viennent au contraire créer des déséquilibres tant dans la gestion du réseau électrique que dans la maitrise des couts. A cela il faut bien entendu ajouter les conséquences négatives sur la biodiversité, la faune, et la destruction de nos paysages. Faut-il continuer à détruire notre économie, notre patrimoine, ... pour le bénéfice de quelques uns?
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 12 février 2025 à 07h42
Les PV doivent être installer sur les toitures, hangars, parkings et zones artificiel .
Les études d'impacts ne sont pas assez poussé et ne tiennent pas compte du "recyclage" de ces zones une fois que les PV seront obsolètes.
Document joint
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 11 février 2025 à 20h19
Madame, Monsieur,
Vous nous avez donné la possibilité grâce à cette enquête publique d’étudier toues les raisons qui se manifestent à la lecture de votre Etude ; nous vous en remercions en espérant que vous en tiendrez compte et que vous ne retiendriez pas que ce qui vous est favorable…
La logique d’un développement durable doit prendre en compte les spécificités et les enjeux propres à chaque région. Il se trouve que nous connaissons bien le charme de certains de ces lieux, leur identité, leur histoire, et surtout leur devenir qui appartiennent à tous.
Les nuisances visuelles ou sonores des projets éoliens ne pourraient en aucune façon disparaître par des plantations de haies qui resteraient bien moins élevées.
Lorsque certains terrains, certaines habitations sont situées en surplomb de champs équipés de cellules photovoltaïques, leurs vues en serait définitivement endommagées.
Nous pouvons également parler de « pollution physique des sols » :
Pour une production annuelle de 50 MWh, un champ solaire va nécessiter l’installation de 12 000 pieux battus ou forés dans le champ (sans garantie de démontage par le promoteur….).
Mais c’est tout autant, l’environnement de la nature, de l’exploitation agricole qui seraient affectés par l’installation de matériaux non biodégradables…
Les excédants hydriques de cette année ne s’infiltreraient plus naturellement dans les nappes phréatiques et l’herbe pousserait moins bien sous les panneaux. Le foin ne pourrait plus être récolté simplement et sécher à l’extérieur. Cela nécessiterait l’achat de matériel supplémentaire et polluant. On peut même parler de Perte d’emplois (agricoles)
Les surprofits des promoteurs EnR ne sont pas justifiés. Il est, ici aussi, grand temps d'arrêter ce gaspillage d'argent public, compte tenu de l'état des finances publiques, de la dette de l'état qui viendrait s'ajouter à la dette publique communément évoquée.
C’est pourquoi en temps que promeneuse et connaisseuse de ce pays, de son agriculture, je vais me prononcer contre ce projet et j’ estime qu’il serait préférable de chercher la possibilité d’une autre implantation sur une zone plus éloignée de bâtiments historiques classés et de chemins de randonnées.
C'est pour toutes ces raisons que je donne un AVIS TRÈS DÉFAVORABLE à ce projet, comme à tous les autres projets EnR.
A titre d’exemple de désastre, demandez au Président de l’Ecoparc du Val de Sée dans le Sud-Manche ce qu’il pense et ce que toute la communauté d’agglomération en pense dix après les installations de cellules photovoltaïques ! considérée au départ, comme une idée ‘géniale’ d’un élu…
Avec mes remerciements pour votre attention pour un AVENIR sain de notre pays dont nous savons tous que certains progrès qui semblent nouveaux se trouvent rapidement dépassés et se révèlent par la suite polluants. Le 11 février 2025
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 11 février 2025 à 16h42
Je contribue à cette enquête publique en tant que :
- conservatrice bénévole des étangs de Courville, CENCA (Conservatoire des Espaces Naturels de Champagne Adrennes) situé à 15 kms de Goussancourt et quelques kilomètres de la vallée de l'Orillon (voir carte jointe),
- habitante d'Arcis le Ponsart proche de la zone de la Grappe du Tardenois,
- contribuable française,
- membre de la Fédération Française de Randonnée Pédestre,
- consommatrice d'énergie électrique et donc cliente d'Edf,
- membre voire bénévole d'association de protection de l'environnement,
- chef d'entreprise à Fère en Tardenois : 25 salariés,
- fille d'un ancien propriétaire d'une micro centrale hydroélectrique sur la Charente.
Je suis contre ce projet pour les raisons suivantes, déjà évoquées dans ma contribution contre le projet de Coulonges Cohan (même projet de Grappe du Tardenois) :
Ce projet de 35 hectares cache un projet bien plus vaste de 411 hectares,
Ce projet contribue à la dégradation de nos paysages,
Ce projet contribue à la dégradation de notre patrimoine privé et public,
Ce projet est une gabegie économique,
Ce projet contribue à la destruction environnementale,
Ce projet contribue à la destruction de la faune sauvage.
Et il existe d'autres solutions de production d'énergies renouvelables.
Ce projet de 35 hectares cache un projet bien plus vaste de 411 hectares,
comme le démontre la carte de la Grappe du Tardenois sur le site Europeanenergy jointe. Où apparaissent les projets de Chery Chartreuve, Dravegny, Coulonges Cohan, Goussancourt et Villers Agron
Cette volonté de saucissonnage du projet Grappe du Tardenois démontre à elle seule, à mes yeux, la mauvaise foi et la volonté des porteurs du projet de tromper les citoyens sur son véritable impact.
Ce projet contribue à la dégradation de nos paysages
En effet, avec les projets photovoltaiques (PV) de Coulonges Cohan, Chery Chartreuve, Dravegny, Goussancourt et Villers Agron tout le secteur de la carte jointe deviendrait un site industriel avec de grands champs noirs.
Dès la sortie Dormans de l'autoroute A4, nous ainsi que nos visiteurs seraient plongés dans un ensemble de champs noirs, tristes défavorables à l'image de notre secteur. Avec pourtant des atouts.
Ce projet contribue à la dégradation du patrimoine
Outre le perte de la valeur du patrimoine immobilier privé, ce projet de Grappe et celui de Coulonges Cohan en particulier impacterait le golf de Villers Agron, très fréquenté et pourvoyeur d'emploi, l'entrée du patrimoine mémoriel et touristique du secteur : Chateau de Nesles, fontaine Roosevelt et cimetière américain de Seringes et Nesles (un des circuits mémoriel Unesco passe sur la route entre Coulonges Cohan et Fère en Tardenois), abbaye d'Igny, églises et chateau, lavoirs, GR de l'Omois (cf carte jointe)
Ce projet contribue à la gabegie économique de notre pays en matière d'énergies renouvelabes.
Comme développé dans d'autres contributions (notamment 9 et 208 du projet de Coulonges Cohan) les PV au sol et leurs raccordements sont des gouffres financiers pour l'Etat et les contribuables.
Le prix garanti par l'Etat au promoteur est souvent supérieur au prix de vente sur le marché, la différence étant financée par le contribuable.
Notre pays est largement excédentaire en énergie électrique décarbonnée, de production régulière et régulable, nous n'avons pas besoin de champs photovoltaiques produisant de l'énergie irrégulière et non commandable.
Ce projet contribue à la destruction environnementale :
Notamment lors de sa construction, le projet de création du réseau privé de raccordement, le projet de Goussancourt contribuent à l'artificialisation des sols, un tassement irrémédiable des sols, et par voie de conséquence, à leur érosion.
Sans oublier le bilan C02 des panneaux photovoltaiques où je rejoins la position de la contribution n°96 du projet de Coulonges Cohan, s'appuyant sur le rapport du GIEC de 2014.
Ce projet contribue à la destruction de site pour la faune sauvage
Outre la biodiversité des sols déjà évoqué, les champs de photovoltaïques privent la faune de sauvage de passage nécessaires aux corridors biologiques nombreux dans le secteur,
privent la faune sauvage de zones de chasse, voire de sites de reproduction. Par exemple, de nombreux insectes sont grillés par les PV, sachant que leur masse a disparu de 70 à 80%, leur destruction supplémentaire contribue à la disparition de nombreux animaux qui s'en nourrissent (oiseaux, chiroptères...).
Sans oublier le risque d'incendie qu'ils font courir aux bois avoisinants
En conclusion, si ce projet est nocif pour notre économie, et pour notre région, il existe des solutions beaucoup plus démocratiques, profitant au plus grand nombre, de transition énergétique respectueuses de l'environnement :
- PV en toiture, y compris toiture agricole, parkings, batiments communaux, déjà raccordés,
- pompes à chaleur et géothermie,
- économie d'énergie, et vie plus vertueuse pour l'environnement,
- plantations d'arbres d'essence diversifiée, de haies et autres surfaces en libre évolution,
- production hydro électrique par la rénovation de moulins et autres micro centrales.
Document joint
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 11 février 2025 à 16h16
Soyons innovant et adaptons nous à l'évolution de la société et de notre mode de vie.
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 11 février 2025 à 15h10
Que de souvenirs familiaux ! Cueillette du muguet, promenades randonnées à pied ou à cheval, sur les multiples chemins. Cette région a été endommagée en périphérie par l'autoroute et la ligne TGV. Il ne faudrait pas rajouter des installations qui dénatureraient le paysage au coeur du Tardenois.
Il faut permettre à la nature (biodiversité, faune comprise) de continuer à vivre.
D'autre part, ayant été à des événements et fêtes au chateau de Nesles, je serais consternée que tous ses alentours soient saccagés.
Ce projet de Coulonges et de la Grappe est vraiment démesuré. Je ne tiens pas à ce qu'il s'installe.